L'appartenance de certaines personnalités aux organisations rosicruciennes du XVIIIe siècle a parfois été évoquée.
Influencé par les idées de Josef Hoëné-Wronski, l'occultiste Eliphas Lévi a prétendu que Napoléon Bonaparte était rosicrucien, et avait reçu pour mission d'unifier l'Europe. D'autres auteurs, tels Papus ou Harvey Spencer Lewis ont aussi soutenu cette idée.
La Societas Rosicruciana in Anglia ou SRIA, dérive de la Societas Rosicruciana in Scotia (SRIS), et fut fondée à Londres en 1867 par les maîtres maçons William James Hughan et Robert Wentworth Little peu après leur réception à Edimbourg, tous deux étaient membres de la Grande Loge unie d'Angleterre(GLUA). Il s’agit d’un ordre rosicrucien admettant un maximum de 144 membres, et exclusivement destiné aux francs-maçons de cette grande loge ou des grandes loges reconnues par elle qui avaient atteint le grade de « Maître ».
Les « manifestes rose-croix », la Fama Fraternitatis et la Confessio Fraternitatis, furent publiés en Allemagne en 1614 et en 1615 et firent pour la première fois mention[2] de cette fraternité en une période de tensions politiques et religieuses, et d'avancées scientifiques. On leur associe généralement un autre texte : Les Noces Chymiques de Christian Rosenkreutz publié en 1616.
L'histoire relate que 120 ans après la mort du fondateur de l'ordre, les Frères de la troisième génération, refaisant en « bons architectes » la maçonnerie de leur « maison », redécouvrent son tombeau. L'inscription « Post 120 annos patebo » (« après 120 ans, je m'ouvrirai ») indique que cette découverte apparemment fortuite avait été prévue.
C'est dans cette acception qu'apparaît en franc-maçonnerie, vers 1760, le grade dénommé « chevalier rose-croix ». Il devient un temps le grade terminal du rite du royal secret avant de devenir, en 1801, le 18e grade du rite écossais ancien et accepté
Le premier document connu rapprochant la rose-croix et la franc-maçonnerie date de 1638 à Édimbourg. Il s'agit d'un bref extrait du poème de Henry Adamson La Thrène des muses :
« For what we do presage is not in grosse,For we be brethren of the Rosie Crosse:
We have the Mason word and second sight,
Things for to come we can foretell aright. [4
Fondé en 1888, en France, par Stanislas de Guaita et Joséphin Péladan, l'Ordre kabbalistique de la Rose-Croix a compté, parmi ses membres Papus, Erik Satie (qui composa pour l'ordre sa Sonnerie des Rose-Croix), Claude Debussy ou Paul Sédir. L'Ordre kabbalistique de la Rose-Croix enseignait la Kabbale et l'occultisme au sein d'une université libre. L'épisode de la guerre « occulte » de ces rosicruciens avec le moine défroqué Joseph-Antoine Boullan, mage noir réputé et exorciste, a alimenté les chroniques mondaines de l'époque et fut l'occasion de proclamations et d'anathèmes jetés par journaux interposés.
Prétextant un refus de la magie opérative, Péladan se sépare du groupe en 1891 pour fonder l'Ordre de la Rose-Croix catholique et esthétique du Temple et du Graal. Cet ordre sera à l'origine des « Salons de la Rose-Croix » qui connurent une grande fréquentation. Entre mai 1890 et mars 1893 éclata "la guerre des deux roses". Il s'agit de l'opposition entre Stanislas de Guaita, fondateur de l'Ordre kabbalistique de la Rose-Croix, et de son ancien ami Joséphin Péladan, fondateur de l'Ordre de la Rose+croix Catholique du Temple et du Graal.
Jean XXIII a été initié à l'ordre des Rose-Croix. Avec tout un tas de détails.
Je cite : "En 1935, Angelo Roncaldi était nonce apostolique en Turquie. Après une série d'épreuves initiatiques, il entre dans la SOCIETE DU TEMPLE..."
La moitié du livre est pleine de détails similaires.
L'auteur, Pier Carpi, (Les prophéties du pape Jean XXIII) est un "éminent spécialiste de l'ésotérisme, a étudié pendant six ans le texte des prophéties..."
De plus l'auteur s'est fait aider par "des représentants de sociétés initiatiques et ésotériques."
Comme par hasard, on trouve confirmation dans l'ouvrage intitulé : Enquête sur l'existence des Anges rebelles (de Edward Brasey).
Des histoires pendant la deuxième guerre mondiale, mêlant Alister Crowley (Mage noir mondialement connu qui fut quelques temps le confrère de RON HUBBARD, fondateur de la Scientologie...), Angelo Roncalli (futur Jean XXIII), et Churchill !!! (p.259)
Pour l'auteur de ce livre, Jean XXIII arborait, sur sa croix pectorale, le signe des ILLUMINATI : un œil ouvert au centre d'un triangle.
Vous remarquerez que c'est le même emblème que sur le DOLLAR Américain... Bref...
Il est tout de même bizarre qu'un membre d'une SECTE SATANIQUE, DONC ANTI-CHRETIENNE, soit élu PAPE...
C'est le principe du cheval de Troie. Destruction de l'intérieur. Jean XXIII a amené le concile Vatican II, toute l'Eglise a été bouleversée, elle a été vidée de sa substance spirituelle qui a fait sa splendeur, et les églises se sont vidées peu à peu, les prêtres ont disparus, les psy sont apparus...
Par contre, le Pape Pie XII devait être béatifié sous le pontificat de Jean-Paul II.
Le dossier a été classé en attente. Pourquoi ? Car l'aboutissement du dossier de Pie XII pourrait faire des vagues.
Pie XII a été à l'origine de la conversion à la religion Chrétienne du Grand Rabbin de Rome, sans parler de sa noble tâche avant et durant la seconde guerre mondiale...
Mais surtout Pie XII condamnait la Franc-Maçonnerie et son rejeton qu'est le socialo-communisme.
Dans son livre sur Pie XII, son médecin personnel Ricardo Galeazzi-Lisi, nous fait découvrir un Pie XII extraordinaire (Livre paru aux éditions Flammarion en 1960.)
Je cite le commentaire de la photo qui figure entre les pages 142 et 143 du livre : "Après l'audition d'un concert qui lui était offert par un orchestre Juif, en remerciements pour l'aide qu'il avait apporté aux Juifs de Rome pendant la guerre et l'occupation allemande, le Pape félicite le chef d'orchestre et les principaux exécutants." Sans commentaire...
Pie XII fut l'une des personnalités les plus critiques envers le nazisme. Sur 44 discours que Pacelli a prononcés en Allemagne entre 1917 et 1929, 40 dénoncent les dangers imminents de l'idéologie nazie. En mars 1935, dans une lettre ouverte à l'évêque de Cologne, il appelle les nazis "faux prophètes à l'orgueil de Lucifer". La même année, dans un discours à Lourdes, il dénonçait les idéologies "possédées par la superstition de la race et du sang". Sa première encyclique en tant que pape, "Summi pontificatus", de 1939, était si clairement anti-raciste que les avions alliés en lâchèrent des milliers de copies sur l'Allemagne pour y nourrir un sentiment anti-raciste...