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dimanche 17 juillet 2011

RÉPUBLI-CAÏNS


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samedi 16 juillet 2011

REINES AIMENT LES COCHONS

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Donnez, donnez aux cochons ...... aux cochons qui se rient de vous, donnez aux riches...... aux riches cochons

On a fait disparaître dans les banques et autres lieux publics les tirelires en forme de cochon pour ne pas heurter la sensibilité des Musulmans.

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samedi 9 juillet 2011

REINE DE TETONS

UN COCHON ROYAL C'EST MOINS PIRE QUE ...... 2 COCHONNES ROYALES
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QUI EST PLUS COCHON QU'UNE TRUIE ROYALE ? ....... 2 TRUIES ROYALES

Monarchie avec ses mentalités passéistes et qui sont encore mentalement à l'époque barbare du médiéval....... sortons de la vie animale, évoluons..... Le passé c'est le passé, cessons de le répéter
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RIEN DE PLUS SOURD ET DE PLUS AVEUGLE QU'UN MILITAIRE ROYAL

ÉLISABETH 11 : CONTINUEZ DE FERMER LES YEUX, DE VOUS BOUCHER LES OREILLES ET AVEC VOS SILENCES COMPLICES DE NOUS RIRE EN PLEINE FACE
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Il n'y a pas pire sourds, pas pires aveugles, ni pires muets que les bourgeois qui ne veulent riuen voir, ni entendre......



PAS PIRES SOURDS QUE DES ROIS ET DES REINES ÉGOISTES

mercredi 6 juillet 2011

REINES VAMPIRES......Elisabeth Bathory est née en 1560, d'une famille de sang royal

Bloody Mary

L'origine de son nom est contestée. Pour certains, il tient son nom de Marie Tudor, surnommée Bloody Mary. Cette reine d'Angleterre, réputée sanguinaire, était la fille d'Henry VIII et régna entre 1553 et 1558. Elle doit son surnom à une politique de persécution des anglicans qui fait suite au rétablissement du catholicisme durant son règne.

On croirait un verre de sang

Elisabeth Bathory est née en 1560, d'une famille de sang royal

a comtesse Erzsébet Báthory dite la comtesse sanglante
Fille de György Bathory d'Ecsed et d'Anna Bathory de Somlyo, Elisabeth Bathory est née en 1560, d'une famille de sang royal.Cette famille remontait très loin dans le temps et comptait un certain nombre d'aventuriers hongrois descendant probablement des Huns et qui s'étaient imposés par le sang et la violence.C'est dans cette atmosphère de sortilèges et de traditions ancestrales venus d'ailleurs, que se déroula l'enfance d'Elisabeth Bathory, et cela explique certainement beaucoup de choses concernant le comportement et le mode de pensée de cette comtesse qu'il faut bien se résoudre à qualifier de "sanglante ".
C ancêtres avaient été des brutes sanguinaires : un de ses frères était un dépravé pour lequel tout était bon, la plus tendre fillette comme la plus ratatinée des femmes âgées ; une de ses tantes grande dame de la cour de Hongrie défrayait la chronique scandaleuse : on disait, tribade " à l'époque, elle était tenue pour responsable de la dépravation de douzaines de petites filles. Et puis, la propre nourrice d'Elisabeth, Ilona, qui deviendra son âme damnée, personnage trouble et inquiétant, pratiquant la magie noire et les sortilèges les plus pervers, eut une influence déterminante sur l'évolution de son esprit.
On ne sait pas grand-chose sur la jeunesse et l'adolescence d'Elisabeth, sinon qu'elle se réfugiait souvent dans une solitude.depuis son plus jeune âge, elle souffrait de maux de tête parfois intolérables qui la faisaient se rouler par terre.Il semble plutôt qu'Elisabeth était en proie à des crises d'hystérie qu'il serait tentant d'assimiler à des crises de possession démoniaque.A quatorze ans elle était déjà fiancée à Férencz Nàdasdy, un comte appartenant à la meilleure noblesse hongroise, redoutable guerrier qui devint illustre et mérita, par la suite, le titre de " Héros noir de la Hongrie ".
Le seul tort du mari était d'être trop souvent absent. Un jour de 1586 ou 1587, alors que Férencz Nàdasdy était en plein combat contre les Serbes, on raconte qu'arriva au château de Csejthe un grand jeune homme au teint cadavérique, nommé Cadevrius Lecorpus. Il était habillé de noir, avait de profonds yeux noirs et de longs cheveux noirs tombant jusqu'aux épaules. Lorsque les servantes de la comtesse racontèrent au village de Csejthe qu'il avait aussi des canines qu'elles jugeaient anormalement longues, plus personne ne douta qu'un vampire s'était installé au château, et les villageois n'allèrent plus se coucher sans avoir soigneusement barricadé leurs portes et leurs fenêtres avec des planches.
Plus intrigante est la relation entretenue réellement par Elizabeth Bathory avec une mystérieuse inconnue, dont personne ne savait le nom et qui venait voir Elizabeth , déguisée en garçon.Une servante avait dit à deux hommes, - ils en témoignèrent au procès -, que, sans le vouloir, elle avait surpris la comtesse seule avec cette inconnue, torturant une jeune fille dont les bras étaient attachés très serrés et si couverts de sang qu'on ne les voyait plus.
Devenue veuve, Elisabeth semble n'avoir rien changé à son mode de vie. Les tortures qu'elle infligeait à ses servantes, elle les pratiquait depuis longtemps et son mari le savait parfaitement, considérant celles-ci comme de simples amusements de la part de sa femme.un jour qu'elle avait frappé une servante assez violemment pour la faire saigner du nez, parce qu'elle lui avait tiré les cheveux en la peignant, un peu du sang de la jeune fille tomba sur le poignet d'Elizabeth ; un peu plus tard, la comtesse crut remarquer que la peau de l'endroit où était tombé le sang était devenue plus blanche et plus douce que la peau environnante ; intriguée, elle se baigna le visage avec le sang d'une des victimes de ses orgies : son visage lui sembla rajeuni et revivifié par le traitement.Le souci primordial d'Erzébeth Bathory, depuis son plus jeune âge, avait été sa beauté: elle avait une peur atroce de vieillir et de s'enlaidir.
Les filles étaient frappées avec violence. Certaines avaient le cou percé d'autres étaient liées avec des cordes qu'on tordait ensuite afin qu'elles puissent s'enfoncer dans les chairs, ce qui permettait de leur ouvrir les veines et de faire jaillir le sang sur la comtesse.On prétend même qu'on remplissait parfois des baignoires de sang et qu'Elizabeth s'y baignait avec ravissement mais comme sa peau délicate ne supportait pas d'être essuyée avec des serviettes, ce sont d'autres filles qui devaient la débarrasser du sang en lui léchant tout le corps avec leurs langues. Celles qui, ne supportant pas une telle horreur, s'évanouissaient, étaient ensuite sévèrement châtiées avant de servir de victimes à leur tour.
Malgré les précautions infinies prises par Erzébeth et ses complices, certaines personnes commencèrent à murmurer. Des rumeurs parvinrent jusqu'à la cour de Vienne et les autorités ecclésiastiques, sentant qu'il y avait sans doute des pratiques relevant de l'hérésie ou du paganisme, commencèrent à se livrer à de discrètes enquêtes.Le roi Matthias II de Hongrie décida de prendre l'affaire en main. Convaincu, par certains témoignages, que l'héritière des Bathory était coupable de crimes de sang, il ordonna une enquête qu'il confia au gouverneur de la province, lui-même cousin d'Erzébeth.le pasteur Andras Berthoni qui avait rédigé un long mémoire dans lequel il accusait Erzébeth d'avoir fait mettre à mort neuf jeunes filles et de l'avoir contraint à les enterrer pendant la nuit. L'envoyé du roi Matthias fut très vite édifié, et, lorsqu'il eut fait son rapport, le roi ordonna l'arrestation de la comtesse Bathory et tous ses complices. Et cette tâche, il la confia à un autre cousin d'Erzébeth, son premier ministre le comte Gyorgy Thurzo.
Le 29 décembre 1610, à la tête d'une troupe armée et accompagné du curé de Csejthe et en présence des deux gendres d'Elizabeth Bathory, le comte Thurzo pénétra dans le grand château.Ils découvrirent plusieurs douzaines de jeunes filles, d'adolescentes et de jeunes femmes. Certaines étaient affaiblies, presque complètement vidées de leur sang ; d'autres, dans un état d'hébétude totale, étaient encore intactes : c'était le bétail réservé aux prochaines orgies. Par la suite, on exhuma une cinquantaine de cadavres de jeunes filles dans les cours et les dépendances du château.Elizabeth Bathory ne se trouvait pas dans le château. Il est vraisemblable de penser qu'elle s'était retranchée dans son repaire constitué par le petit château, son domaine réservé où peu de gens avaient le droit de s'introduire. Lorsque le comte Thurzo se présenta devant elle, elle ne songea pas un seul instant à nier l'évidence. Aux accusations que lui porta légalement son cousin, la comtesse s'enferma dans un mutisme hautain.
Les principaux complices, Jo Ilona, Ficzko, Dorko et Katalin Beniezky furent condamnés à la décapitation et exécutés.Quant à la comtesse Elizabeth Bathory, elle fut condamnée à être murée vive dans ses appartements privés du petit château de Csejthe : sous la surveillance des juges et du comte Thurzo, des maçons murèrent donc les fenêtres et les portes de ses appartements, laissant le miroir, et qu'une petite ouverture par laquelle on passerait tous les jours de l'eau et de la nourriture. Elizabeth Bathory se laissa enfermer sans prononcer une par
ole.Elle mourut le 21 aout 1614.